dimanche 29 avril 2012

Rencontres, balades et trouvailles!

La famille Caribou est de retour...

Il paraît qu'il fait un temps de Toussaint en Belgique!

Ici, c'est à peu près pareil sauf qu'on ne sait pas encore quel temps il fait à la Toussaint, en général.
Quoi qu'il en soit, nous avons essuyé une fameuse tempête de neige lundi passé.  Les routes étaient couvertes de plus ou moins 10 cm de neige à moitié fondue.  Après mes trajets du jour, mon pantalon était mouillé jusqu'à mi-mollet!  La nuit, le vent était tel qu'il hurlait dans les gaines techniques de l'hôtel et sifflait au point de faire peur aux enfants!
Charmant.

Mardi, Nancy, notre guide-négociatrice-géo-trouve-tout, nous rend visite.  Elle est de passage à Québec pour une autre famille belge de GSK qui arrive en août et voulait revoir les enfants!  Super contents, les petiots!

Mercredi, nous fêtons notre premier événement au Québec.
L'anniversaire d'Olivier.


Nous le préparons durant 2 jours, bricolons, dessinons des décorations,...
Rosalie le questionne discrètement pour connaître ses envies culinaires.
C'est un moment que tout le monde attend avec impatience.

Nous avons droit à un petit spectacle d'animaux et à un apéro préparé par les enfants.
Nous découvrons le homard du pays du homard mais grillé à la bretonne!  Un régal.


Jeudi, c'est le souper de l'école Saint-Louis de France.
Rosalie et Basile sont impatients de retrouver leurs copains et leurs madames dans un cadre un peu festif.
Je donne un coup de main pour dresser les tables et réalise que les enfants sont "connus" à l'école.  Lorsque je dis que je suis belge et que nous venons d'arriver, les prénoms de Rosalie et Basile fusent.  Ils en sont très fiers.
Nous nous mettons à l'heure québécoise: nous sommes conviés entre... 17h00 et 19h00 pour le souper!  Nous quittons dans les derniers vers 19h10!

Vendredi, conférence pédagogique pour les 2 grands.

Coiffeur pour nos cocos.  Rosalie a tenu, d'elle-même, à changer de coupe.  "Je voudrais un carré".  Nous sommes assez contents de ce souhait qui lui est tout à fait propre.  En avant donc pour un carré.
Basile, quant à lui, s'offre un petit coup de frais et... de gel.








Durant midi, nous dédouanons nos bagages.  Tout est arrivé au port de Québec.  Plus rapidement que nous ne le pensions, finalement.
Olivier a dû prêter serment: nous reprendrons toutes nos affaires en repartant et ne venons pas à Québec pour vendre ces meubles!  Fameusement sérieux.












Gus, quant à lui, profite de la fin de sa journée d'école pour draguer une conductrice de bus scolaire.

"Comment t'appelles-tu, mon petit garçon?"  "Augustin, madame."  "Oh, c'est le prénom de mon grand-père.   Tu veux venir t'asseoir dans mon bus, Augustin?"  Que oui, chère madame!  "Je n'oublierai pas ton prénom, Augustin.  Tu peux venir t'asseoir dans mon bus, quand tu veux!"
Bingo!


Samedi, devoirs, préparation d'élocution, magasinages divers. Après-midi, très longue balade dans notre futur quartier malgré le froid qui nous glace les joues.















Nous suivons le "RAVEL" jusqu'aux fameux ponts de Québec qui enjambent le Saint-Laurent: deux ponts contigus (une centaine de mètres seulement les sépare), l'un en métal -genre Tour Eifel-, le "Pont de Québec" et l'autre plus moderne, suspendu par des câbles, le "Pont Pierre Laporte".




En route pour une excursion sur le pont de Québec malgré le vent fort et le bruit!  La poussière vole mais le défi nous tente.  Et puis, Augustin veut lancer son bois dans le fleuve!
Le spectacle est magnifique et la structure métallique du pont impressionnante.
Le débit du Saint-Laurent qui passe sous nos pieds est énorme.




Nous rentrons par les petites rues très résidentielles qui longent le fleuve.  La vue est imprenable et les maisons ressemblent à des châteaux.







Les enfants nous cueillent des petits pissenlits en guise de muguet, seule fleur accessible dans les étendues d'herbe et les sous-bois.







Dimanche matin, balade au centre du Vieux Québec.
Nous retrouvons avec plaisir le "Petit Champlain", ce dédale de petites rues piétonnes très touristiques et agréables.



















Pour monter la falaise, nous empruntons le funiculaire qui nous amène au pied du Château Frontenac!  Evénement pour nos 3 loustics qui attendaient ce moment depuis bien longtemps.








Là haut, le vent est piquant et nous redescendons bien vite à l'abri des ruelles.
L'ambiance y est chaleureuse et paisible.
Les enfants s'asseoient à côté d'un violoniste qui joue de la musique québécoise traditionnelle.  Ils peuvent même utiliser des "cuillers en bois" pour battre la mesure avec le musicien.  A peu de chose près, on se croirait à un Fest Noz breton...












L'après-midi, nos amis Alice et Arnaud -que Mathilde, la petite soeur d'Alice, a rejoints- nous accompagnent pour une balade dans les bois et sur la "Promenade Champlain", promenade magnifiquement aménagée entre les ponts de Québec et le Vieux Québec (soit 11 km), à côté du Saint-Laurent, avec deux "routes, l'une pour les vélos et l'autre pour les piétons.  Bancs, fontaines, étendues de bois, d'herbe,...  Le tout dans un état de propreté exemplaire.



Nous faisons une halte à la "Tour des cageux".  Relais et tour moderne, tout en bois, ouverts au public pour s'asseoir, flâner, observer.




Les cageux étaient les conducteurs des "cages" de bois, soit les troncs assemblés pour être transportés sur le Saint-Laurent.


Vue sur Québec et sur les ponts.  Nous nous sentons un peu ailleurs... (où nous sommes, d'ailleurs!).









Notre maison sera prête ce mardi.  Nous nous réjouissons tous.
Nous comptons y entrer le week-end prochain.
Dans l'intervalle, nous cherchons quelques meubles que nous n'avons pas pu emporter.


Voici un magasin d'ameublement...  L'architecture est pour le moins surprenante et le contenu est fait pour tous les goûts...



Nous avons découvert avec plaisir l'équivalent du site "Ebay" ici au Québec et, après quelques tâtonnements, y avons acheté un lit pour Augustin et une table et des chaises de cuisine.
Tout ça se met donc en place...

Belle (courte) semaine à tous.
Bon 1er mai et bon muguet (est-il en fleur dans les jardins?).
Ici, pas de fête du travail et pas de muguet.  Les livraisons par bateau sont donc les bienvenues!

A très vite!


dimanche 22 avril 2012

Notre première (vraie) semaine et notre premier week-end de relâche.

Nous revoilà...
Notre petite vie s'installe peu à peu.
Le temps commence à prendre une allure un peu plus normale.  Nous réalisons que nous ne sommes pas en vacances ici au Québec mais que nous allons y vivre.  C'est grisant et aussi parfois difficile.  Les enfants s'expriment beaucoup de manière explicite ou non.  Nous séchons quelques larmes de temps en temps mais, globalement, nous restons convaincus que notre aventure vaut la peine.

La semaine s'est déroulée "normalement".
Importante prise de marques pour les enfants.
Que d'émotions.  Que d'adaptations.  Que de changements.
Ils sont courageux, nos loulous, mais sacrément fatigués.

Rosalie a été adoptée par sa classe, semble-t-il.  Madame Nathalie, son institutrice, nous disait déjà, le premier soir: "Pas de souci côté relationnel.  Ca roule".  C'est gai.
Elle doit s'adapter aux changements dans les apprentissages.  Certaines choses lui sont encore inconnues (le subjonctif, les tables de multiplication jusque 12 x 12,...).  D'autres lui sont très aisées (le pluriel des mots en "ou" avec ses exceptions bien connues, par exemple).  Elle navigue donc dans tout ça avec volonté.

Basile doit s'adapter à une réelle différence de méthode.  Avec M. Goubille, il a par exemple appris à calligraphier, les règles d'orthographe se greffant par-dessus ces pré-requis.
Ici, on ne calligraphie pas.  Les enfants écrivent en "imprimé" (lettres minuscules des livres) mais l'orthographe est ultra importante.
Il lui est demandé de moins se focaliser sur son écriture et de bien photographier les mots.
Il doit en apprendre 5 par semaine (et a quelques semaines à rattraper).
Il travaille courageusement et se met doucement dans le moule.

Augustin a passé une bonne semaine avec Madame Marie.
La journée des petits est très structurée.  Lorsque nous allons le rechercher, nous lisons d'abord le compte-rendu des activités et puis son petit cahier du jour (s'il a bien mangé, son humeur, le temps de sieste, sa participation aux activités,...).
Il semble se plaire dans ce nouvel espace, nettement plus petit et plus familial que Sainte-Marie.
L'espace fait plus penser à une crèche qu'à une école.
Quoi qu'il en soit, il paraît y être bien!

Olivier a pris le train GSK en marche.  Il potasse les procédures et rencontre les gens.  Il est content.  Ses journées sont nettement plus courtes qu'en Belgique.  Je vais le chercher vers 17h30.  "Elle vient te chercher tard, ta famille."

Votre humble rédacteur vit calmement entre magasinage, cuisine, brassées de linge, devoirs des petits,...
Je dois toutefois vous avouer quelque chose: quand je disais que les machines à laver lavaient tellement mal et qu'elles faisaient même des taches!  J'ai très habilement voulu laver le linge dans une... sécheuse, alias un séchoir!  Les machines sont les mêmes et je n'ai pas vu la différence!  Bien vu Isa!  3 pater et 2 ave pour me faire pardonner par l'électronique québécoise!

Je récupère donc nos cocos vendredi après quatre heures bien fatigués.
Nous laissons bien entendu tomber les devoirs qui seront faits plus tard.
Plongeon apprécié!
Le soir, nous recevons dans notre petit appartement Alice et Arnaud, de vrais-faux (ou faux-vrais, c'est selon) indigènes (cfr un récit précédent) avec qui nous passons une soirée à rire des différences de culture entre nos pays.

Et notamment l'hygiène.  Les québécois sont littéralement obsédés par l'hygiène.  A l'école, dans les magasins, dans les administrations, des bouteilles de liquide alcoolisé pour se laver les mains.  Les enfants se lavent les mains après chaque passage aux toilettes ("à la salle de bains"), Augustin se lave les dents après chaque repas à l'école, les collègues d'Olivier aussi...  Les enfants ne peuvent pas se partager les 10 heures (beaucoup d'enfants sont allergiques!).  On ne peut pas apporter des gâteaux d'anniversaire à l'école...  Bref, c'est fou!

Lors de mes visites dans les centres médicaux (il était tard dans l'après-midi, j'avais déjà beaucoup trimballé les enfants), je m'adresse à une gentille madame à travers une fenêtre semi-blindée.  On ne sait jamais, ma salive pourrait être acide et faire fondre le verre!
A côté du guichet, du liquide pour les mains bien sûr et des masques pour se protéger la bouche, comme en temps d'épidémie de grippe.
Les 2 grands en prennent un chacun et jouent calmement au docteur pendant que je discute.
Après, très disciplinés, ils sont allés les ranger sur la pile avec les autres masques...
Fou-rire général!



Samedi matin, nous papotons sur skype.  Nous en découvrons les joies.  Les enfants adorent mais sont aussi un peu gênés par cette "caméra".  Ils rigolent bien néanmoins en faisant des tas de grimaces avec leurs cousins!








L'après-midi, Augustin était invité à l'anniversaire de Justine, une petite fille de sa classe.  Sa famille rentre d'expatriation en Suisse et quand elle a su que nous arrivions, elle nous a invités pour faire connaissance.  Super sympa.

Augustin était un peu intimidé.  Il a participé à toutes sortes de petits jeux organisés pour Justine et a mangé un gâteau digne des dessins animés!

J'y suis restée avec Rosalie pendant qu'Olivier et Basile s'adonnaient à une des activités du moment: le magasinage de voiture!  Nous cherchons avidement une voiture!  Basile adore visiter les garages avec son père et a jeté son dévolu sur une... très belle Chrisler cabriolet (bien sûr!).





Cet après-midi, tempête de neige!  La neige tombe dru et les toits sont vite blancs.  La neige tient et monte bien vite à 5 cm...  C'est beau.







Le soir, nous sommes invités chez Philippe, un collègue d'Olivier.  Philippe et son épouse Colienne sont belges.  Ils sont partis en expatriation il y a 5 ans aux Etats-Unis.  Ils sont depuis 2 ans à Québec et rentrent en Belgique cet été.  Ils ont deux petits garçons: Jack, 3 ans et demi, et Félix, 8 mois.
Ils habitent à un bon quart d'heure de Québec.

Sur la route, en partant, le long de l'autoroute: 2 biches toutes tranquilles!  Incroyable.


Nous avons discuté de nos expériences respectives durant toute la soirée.  C'est très agréable de partager ce que nous vivons.
Les enfants ont eu le bonheur de retrouver des jouets (les quelques petites voitures et livres que nous avons à l'appartement commencent tout doucement à être connus...).  Ils ont adoré.  Gus et Jack ont fait des balades en trotteur entre la cuisine et le salon.






Dimanche matin, devoirs!  Les enfants apprivoisent le matériel (les duo-tangs, c'est quand même terrible!!!) et la logique des devoirs.  Tout est planifié à la semaine.  Ils peuvent donc s'avancer.
Rosalie doit préparer une élocution sur le bonheur...

L'après-midi, en route pour voir la neige.  Nous partons au Lac Beauport, à une demi-heure de Québec.






Le lac (0,8 km2) est magnifique. Il est bordé d'une route ("le chemin du bord du lac", ça ne s'invente pas) où les maisons -de vraies cabanes au Canada pour certaines- ont une vue imprenable.
A quelques mètres de là..., des pistes de ski!
C'est un environnement vraiment incroyable.
Nous nous baladons dans le coin et aboutissons finalement dans des sentiers balisés.  Promenade d'une bonne heure dans le froid et la neige.  Hors du temps et même de l'espace.





















Les enfants sont fous!  Ils s'enfoncent, tombent, se relèvent, observent les petits ruisseaux, passent les petits ponts de bois, écoutent les oiseaux, lèvent plusieurs perdrix (ou assimilées).  La nature est splendide.
















Notre week-end se termine.  Dépaysant et reposant.
En route pour une semaine un peu courte: congé pour les deux grands vendredi.
A très vite!


mardi 17 avril 2012

Une journée comme les autres... Petits clins d'oeil!





Voici une journée qui n'est que peu médiatique...
Ce mardi s'est déroulé comme le vôtre, sans doute!

Voici néanmoins la vue de notre balcon ce soir.  Une fameuse métropole, tout de même!  Toutes ces lumières, de nuit, sont fascinantes!

Les enfants prennent leurs marques, petit à petit.
Les deux grands sont rentrés assez apaisés avec pas mal de devoirs sous le bras.
Ils ont courageusement travaillé ce soir avant un petit plongeon.
Quant à Augustin, je l'ai retrouvé, à l'école, jouant dans un bac à sable avec ses très célèbres bottes.  Le roi n'était pas son cousin.

Je vous annonce non sans un certain plaisir que nous avons une adresse skype qui fonctionne: "lesmonamiaucanada"!
Nous papoterons avec vous avec plaisir tout en gardant à l'esprit de part et d'autre de l'océan que nous devrons nous adapter aux 6 heures qui nous séparent!

Puisque ma petite vie de femme au foyer n'est guère intéressante, je n'ai plus grand chose de croustillant à vous raconter.
Je me propose donc d'écrire un petit mot toutes les semaines, en fin de week-end ou le lundi pour vous raconter la semaine écoulée et nos activités du week-end.
Nous gardons bien sûr contact via l'adresse mail.
Et, quoi qu'il arrive, si nous croisons un caribou dans notre jardin, nous ne manquerons pas de publier une édition spéciale!  N'hésitez pas à faire de même si cela vous arrivait...

Je termine en vous faisant part de quelques clins d'oeil que mon regard de petite campagnarde wallonne a retenus.

D'abord, deux perles de mes garçons:
Augustin ce soir au repas: "Maman, écoute-moi dans les yeux!"

Basile: "Un des copains de la classe s'appelle Louis-Philix".  Nous avons tenté, avec lui, de décortiquer ce  prénom quelque peu barbare.  Nous lui avons suggéré "Louis-Philippe" ou même essayé "Louis-Félix" mais rien n'y fait, notre Bilou a un copain qui s'appelle Louis-Philix...



Voici l'hôtel où nous vivons.  Notre petit appartement est situé au 12ème et dernier étage.

En face, un centre commercial digne de la démesure américaine.  On m'y a renseigné un magasin de chaussures pour les enfants (il faut d'ores et déjà acheter les sandales d'été parce que, à partir du mois d'août, ce sont les grosses vestes d'hiver qui seront en magasin!).  J'ai tourné, sans arrêter de marcher et sans repasser deux fois au même endroit, durant près de 2 heures (un bien bon exercice, hein docteur) et... je n'ai pas trouvé!


























Dans ce bel hôtel, au 11ème étage, un petit bijou de technologie qui me fait rire toute seule: les machines à laver alias les laveuses!


Une véritable horreur: ça ne se programme pas, ça tache les vêtements (eh oui, le savon de lessive se verse à même le linge dans le tambour et, lors de ma première "brassée", j'ai découvert des taches qui n'étaient pas là en début de programme!), ça lave moyennement bien,...

Moi qui suis un peu maniaque...  J'ai donc retrouvé la bonne baignoire dans laquelle je frotte, lave, rince et recommence régulièrement!


Encore un détail (de taille) comique: notre voiture (que le gentil monsieur GSK a eu l'amabilité de nous louer dans l'attente d'un achat).  Ou plutôt devrais-je dire, notre bus.  Pour passer un mouchoir du siège avant vers la 3ème banquette située avant le coffre, comptez un bon quart d'heure tant l'engin est imposant.  Mais il reste maniable malgré tout.  Et à boîte automatique.  J'aurais néanmoins préféré un petit bip-bip à l'arrière pour mes savantes manoeuvres mais, pour l'instant, je n'en sors pas trop mal avec cette navette spatiale.



Notez un détail savoureux: par mesure d'économies, les voitures québécoises ne sont pas dotées de plaque minéralogique à l'avant!  On a l'impression que toutes les voitures sont... volées!
Notez encore qu'à un carrefour où vous vous arrêtez à un panneau stop (ici nommé "arrêt), la priorité est offerte au premier arrivé...  Et c'est respecté!


Je termine par un petit message spécial pour Benoît, Céline et Alain et aussi tous les amateurs du grand Fantomas!  Regardez la porte de l'ascenseur de l'hôtel... On s'y croirait, non?  Elle entre dans le mur lorsqu'elle s'ouvre.  Il ne manque que les grandes orgues et le commissaire Juve!






Je garde quelques petits détails rigolos sous la semelle pour la semaine prochaine.

Merci mille fois de nous suivre et d'encourager les enfants.
C'est doux de vous savoir là alors qu'on est si loin.
Nous vous embrassons!

Isabelle, Olivier et les enfants