CA Y EST! Nous y voici. Quelle aventure...
Levés aux (très belles) aurores, nous sommes prêts! Un camionnette-taxi vient nous chercher à Vedrin. Les bagages sont bouclés au dm³ près.
Nous passons la frontière après des au-revoirs "transpirants des yeux", comme on dit chez nous.
Nous découvrons toutes les arcanes des voyages en avion (comme dans le livre des enfants): nous glissons nos bagages à main dans des caisses qui passent au rayon x, nous enlevons nos vestes et montres, une douanière vérifie l'éventuel contenu des foulards que Rosalie et moi portons... Les enfants interrogent et questionnent les douaniers! Les ciseaux jaunes de bricolage resteront à l'aéroport: les lames sont trop longues. Souvenir de nous à Zaventem...
Petit jus d'orange.
Nous embarquons dans un avion d'Air Canada. Les enfants n'ont pas assez de leurs deux yeux pour observer tous les détails de l'appareil. L'hôtesse de l'air et le steward sont adorables avec eux. De vrais pachas. Nous ignorons si le système électronique de commande du siège d'Augustin aura résisté à son passage!
Nous tuons le temps en jouant dans un salon d'attente calme et très propre.
Après, c'est la course! Le vol pour Québec est prévu quelques minutes après et nous devons traverser l'aéroport. Nous parvenons à attraper l'avion (à quelques minutes près)!
Petit avion à hélice. Nous marchons sur la piste pour y accéder. C'est beaucoup plus folklorique.
Nous luttons contre le sommeil pour pouvoir avaler un petit souper avant notre première nuit décalée.
Mes premières impressions sont baignées par l'extrême gentillesse des Québecois. Nous avons le sentiment de ne jamais déranger personne avec nos questions ou demandes de renseignements. On nous a souhaité un bon séjour à de multiples reprises depuis notre arrivée. La courtoisie semble être un maître-mot, ici.
Mes yeux retiennent, de prime abord, la grande aridité de la nature. L'herbe est brunâtre et la végétation n'a pas encore repris ses droits du printemps. La terre dégage tout le froid de l'hiver.
Mes yeux retiennent, de prime abord, la grande aridité de la nature. L'herbe est brunâtre et la végétation n'a pas encore repris ses droits du printemps. La terre dégage tout le froid de l'hiver.
A très bientôt!
C'est vraiment génial de vous suivre pas à pas...C'est comme si on était dans votre valise! Superbes photos et j'ai oublié de préciser que Rosalie a choisi une très très chouette valise! J'aime beaucoup.Bon vent et au plaisir de vous lire. Myriam D'huyvetter
RépondreSupprimerSalut les z'amis!Nous sommes heureux de vous savoir arrivés à bon port!C'est super sympa de pouvoir vous suivre dans votre aventure!Gros gros bisous de la tribu Goffette
RépondreSupprimerHello vous tous!!!
RépondreSupprimerCalice de Tabernacle!!!! ou bien "Oufti comme on dit à Liéch..."
On est heureux pour vous que tout se soit super bien déroulé! Quelque part moi j'vous envie (Colette pas encore car la température en-dessous de 26 ° ne l'intéresse pas!!!)
Nous vous envoyons toute notre amitié avec des gros betches!!!
Colette Bernard Bertrand Gauthier et Océane
PS : A propos, le pied , c'est l'pied? Et l'atout, pardon la toux d'Oli?
Coucou de Mamy et Bon Papa de Vedrin.
RépondreSupprimerQuel bonheur de suivre tout cela presqu'en vrai.
Ici, il fait glacial et les cloches ont eu bien froid pour revenir de Rome.
Bon dimanche et bon appétit avec la poutine de Pâques.
Gros câlins aux trois petits et bisous aux deux grands.
Hello le Canada,
RépondreSupprimerDommage pour les ciseaux et les tracasseries administratives mais l'essentiel c'est l'accueil de bon augure des Québecois. Reposez-vous bien et bon passage à l'heure canadienne. Bises de La Clouse.
Enfin vous y etes en vrai !!!
RépondreSupprimermerci pour les nouvelles, chouettes photos !!! débarquez bien, c'est une belle aventure qui commence. Enorme bisous a tous les 5 de Waterloo (son lion, son champ de bataille) et vive les hotels :-)
(j'ai toujours un probleme avec mes accents ;-)
Coucou les amis,
RépondreSupprimerNous vous souhaitons un bon séjour.
Nous espérons que votre école sera chouette.
Nadège & Romane
On vous rassure, les postes de commande des sièges d'avions sont à toute épreuve. Et quand bien même... Alors que je disais il y a peu à Nadège et Romane de cesser de les maltraiter, de peur de les détraquer, j'ai ajouté "qu'est-ce qu'on dira à la dame, si tu la casses?" Et Romane de répondre en haussant les épaules "on lui dira: c'est foutu...!"
No stress, quoi!
Grosses bises à tous,
Les Monami de Watermael